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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 20:46

On apprend ce matin dans le journal La Tribune, que le groupe Continental, qui tablait sur une progression de 5% de son chiffre d'affaires cette année n'exclut pas d'atteindre les 10% par rapport aux 20,1 milliards d'euros de 2009.

Il annonce ce mercredi avoir enregistré un bénéfice opérationnel (Ebit) de 494 millions d'euros contre une perte de 165 millions un an plus tôt, certes en pleine crise.
Le chiffre d'affaires bondit de près de 40% à 6 milliards d'euros, selon ces chiffres préliminaires. L'ensemble des résultats seront publiés le 4 mai.
"Nos activités se sont très nettement renforcées au cours des trois premiers mois de l'année" indique dans le communiqué le président du directoire Elmar Degenhart. Malgré un marché automobile européen assez incertain, Continental qui tablait sur une progression de 5% de son chiffre d'affaires cette année n'exclut pas d'atteindre les 10% par rapport aux 20,1 milliards d'euros de 2009. Et dire que l’on vient de juger coupable les Conti pour avoir dégradé du matériel ! Ce sont ces patrons qui devraient être à la barre ! !

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 20:44

Les bateaux s'accumulent sur la Sensée à Douai... Bruno, 46 ans, se bat, avec les autres, pour continuer un métier pourtant dans l'air du temps.

Sur la Sensée, à Douai, les bateaux s'accumulent... Parmi les bateliers, Bruno Willaert, « né dans un bateau », à bout, mais qui se bat « pour pouvoir continuer ». Par passion.
Cliquez ici pour accéder au contenu
« C'est mon métier, mais aussi ma passion. Alors je me bats pour continuer, même si je suis un peu lassé d'être exploité... ».
En rade à Douai, Bruno Willaert, 46 ans, n'a plus rien à perdre. « Depuis 2008, explique-t-il, on touche à nos économies pour subvenir à nos besoins. Plus personne ne s'en sort. C'est un engrenage qui ne peut pas durer (1) ».
D'autant qu'à son compte depuis 1984, il n'imagine pas sa vie hors de son bateau : « Que pourrais-je faire d'autre ? ». Car le bateau, ce fils et petit-fils de batelier est né dedans : « J'y ai vraiment poussé mon premier cri ». Pas surprenant dès lors que dès quinze ans, il travaillait avec son père : « C'est lui qui m'a appris le métier ».
Un milieu unique, fascinant, avec ses « bons et moins côtés ». Aujourd'hui, il en est à son cinquième bateau, acquis il y a six ans. « J'ai toujours voulu évoluer, confie-t-il. Aujourd'hui, je travaille pour l'international, des transports vers la Belgique, la Hollande, l'Allemagne : les céréales et tout ce qui est ferreux ». Pour lui, comme pour les autres, ce qui ne va pas, ce sont les intermédiaires et les prix imposés. « Évidemment, reconnaît-il, on est libre de refuser, mais comme il y a toujours quelqu'un qui va le faire... On risque d'être banni ». Sans compter « la concurrence déloyale de certains pays ».
« C'est notre truc, une vie à part »
Et dire que le transport par voie d'eau est dans l'air du temps. « C'est vrai, reconnaît Bruno, on dit que c'est le plus économique, le plus écolo - mon bateau, 1 063 tonnes, représente trente-trois camions - mais la réalité montre un autre visage... On se sent abandonnés ». Car au-delà des discours, il a l'impression de « ne pas être écouté ». Heureusement que sa famille tient le coup dans la tempête : sa première fille, Gaëlle, 25 ans, qui a donné son nom au bateau sa deuxième fille, Julie, batelière Céline, la petite dernière, qui va passer son bac. À 19 ans, elle vit dans la maison familiale à Douai. Un havre de paix pour la retraite ? Il n'en sait rien : « Vous savez, je ne sais pas que ce que je ferai à ce moment-là : mes beaux-parents, à 76 ans, résident toujours sur une péniche à la gare d'eau de Dorignies ». Dur de chercher à comprendre : « C'est notre truc, une vie à part ».
À tel point que certains bateliers, non issus du sérail, jettent l'ancre parfois rapidement, après quelques mois d'exploitation. Car il faut être mordu pour accepter les mauvais côtés du métier : la navigation l'hiver, l'éloignement des enfants (dès six ans à l'école de la batellerie). S'ajoutent maintenant les gros nuages sur l'avenir de la profession.
« La batellerie est menacée de disparition », reconnaît Jacques Delhay, un des responsables du syndicat La Glissoire. « Il faut que les responsables politiques nous répondent, poursuit-il, même s'ils ne sont pas d'accord avec nous... Nous, on demande simplement que le prix payé pour le transport ne soit pas en dessous du coût d'exploitation d'un bateau ». Pour que la passion se perpétue. Bruno en sait quelque chose. Sa deuxième fille suit ses traces : « Avec son copain, elle est bien partie... Mais pour combien de temps ? ». C'est tout l'enjeu du conflit actuel. •
(1) Le prix du fret à la tonne est passé de 9 euros en 2008, à 6 euros il y a un an et à 4,80 euros aujourd'hui, en moyenne.
mercredi 28.04.2010, 05:08 - PAR BERNARD VIREL La voix du nord

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 21:39

Les députés doivent se prononcer ce mardi sur le projet de loi encadrant le crédit à la consommation. Le texte vise à protéger les ménages surendettés dont le nombre augmente de 16% par an en moyenne depuis le début de la crise.

L'Assemblée nationale doit se prononcer ce mardi sur le projet de loi visant à encadrer le crédit à la consommation. Le texte, qui a déjà reçu l'aval du Sénat, doit réussir la difficile conciliation entre le maintien de l'activité économique soutenue en partie par le crédit et la nécessaire protection des ménages surendettés.


Le nombre de dossiers déposés auprès de la commission de surendettement ne cesse en effet d'augmenter. Un phénomène jugé d'autant plus inquiétant par la Banque de France que la population touchée par le surendettement n'est plus la même. Lors de la création de la commission de surendettement avec la loi Neiertz de 1989, il s'agissait d'aider des personnes qui n'avaient pas su gérer leur budget : le syndrome de la fièvre acheteuse où les personnes abusaient du crédit pour acquérir un 4X4 ou des produits high-tech. Mais depuis la fin des années 1990, une nouvelle catégorie de population est confrontée au problème du surendettement, avec l'apparition des «nouveaux pauvres», c'est-à-dire de personnes qui, bien qu'ayant un emploi, ne parviennent plus à payer les factures d'électricité ou de gaz. Et la crise a accentué la tendance en multipliant le nombre d'«accidents de la vie», et notamment le nombre de ménages touchés par le chômage. Depuis 2008, la Banque de France note une augmentation des cas de surendettement de l'ordre de 16% par an.
Les dernières statistiques publiées par l'organisme confirment ce mouvement. 19.380 dossiers ont ainsi été déposés à la commission au mois de février 2010. Soit 20,5% de plus qu'au mois précédent.

 

La Banque précise toutefois qu'il ne faut pas tirer de conclusions hâtives, du fait d'une certaines saisonnalité. Les premiers mois de l'année portent en effet traditionnellement les stigmates des fêtes de Noël. Un phénomène sur lequel le nouveau texte pourra peut-être agir. Il prévoit en effet un doublement du délai de rétractation des clients (14 jours au lieu de 7), l'obligation pour les cartes de fidélité des magasins de proposées une option «paiement comptant», ou encore une limitation du crédit renouvelable et de la publicité. Les banques et organismes spécialisés devront alors mettre davantage l'accent sur l'engagement que représente un crédit que sur la facilité d'obtenir des sommes d'argent.


Source : La tribune.fr

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 21:37

La situation à 12h
Environ 80 contrôleurs en grève ont reconduit à une quasi unanimité vers 12h leur mouvement lors d'une assemblée générale. Le trafic sera par conséquent une nouvelle fois perturbé demain. Ils prévoient également une action devant le conseil régional au Wacken à Strasbourg demain matin à 10h.
Les grévistes déplorent "le refus de la direction de la moindre concession tant que le mouvement ne sera pas arrêté, lors des négociations tenues dans la matinée".

 

La situation à 11h30
Après avoir été reçus par la direction, les contrôleurs en grève sont ressortis visiblement mécontents. Les négociations se seraient mal passées, selon des contrôleurs qui sortaient de la réunion. Vers 11h20, les grévistes se dirigeaient vers la gare de Strasbourg pour tenir une nouvelle assemblée générale. Ils décideront s'ils poursuivent leur mouvement avec un septième jour de grève.

 

La situation à 10h
Ce matin à 10h, 80 contrôleurs en grève venus de Strasbourg, Mulhouse et Belfort, se sont introduits dans les locaux de la direction régionale de la SNCF à Strasbourg où ils ont interrompu une réunion. Les contrôleurs en grève ont, disent-ils, l'intention d'occuper les locaux jusqu'à ce que des négociations s'engagent avec la direction sur le conflit en cours.
Hier la direction régionale a fait savoir qu'elle refusait toute négociation tant que le mouvement de grève était en cours.
 

 

La situation ce matin
Quelque cinquante à soixante contrôleurs TER ont décidé hier matin de poursuivre leur mouvement de grève déclenché à la suite d'une agression dans un train, à Mulhouse, mercredi dernier. Ils entament leur sixième jour d'action. Le réseau des transports est encore perturbé, surtout dans le Bas-Rhin.
"Aucune perturbation sur les lignes routières et sur les axes suivants : Strasbourg Kehl Offenbourg, Strasbourg Molsheim Sélestat, Colmar Munster Metzeral, Mulhouse Bâle, Mulhouse Belfort, Mulhouse Thann Kruth, Mulhouse Colmar, Strasbourg Sarreguemines Sarrebrück et Strasbourg Bâle (TER 200) et Saverne Metz (TER 200)", indique la SNCF sur son site internet, ce matin.

Edition des DNA 27 avril 2010

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 20:44

Voici l’exemple type de la politique actuelle de l’UMP ! Un fait divers, hop, une loi ! Demain il va pleuvoir, hop une loi pour imposer le soleil ! ! ! Ridicule

Un dépité vient donc de sauter à son tour sur cette affaire de niquab polygame arrêté au volant…à force on est en droit de se demander où à commencer l’AFFAIRE !

Le nom de se dépité fan d’info trash, le dépité UMP Damien Meslot ! En pleine ce dernier se gargarise d’avoir récemment déposé une proposition de loi pour interdire le versement des allocations familiales aux "familles polygames". Quel visionnaire cet homme !

"Il est fréquent que des familles polygames touchent actuellement des allocations familiales, alors que la loi pénale interdit clairement la polygamie", affirme dans un communiqué l'élu du Territoire-de-Belfort.

"Il faut en finir avec ces individus qui ne respectent ni les valeurs, ni la loi de la République et bénéficient en plus, à cause d'un vide juridique, des aides sociales. Cela doit cesser", ajoute-t-il.

L'article unique de sa proposition de loi propose de modifier le code de la Sécurité sociale en stipulant que "lorsque la personne ayant la charge des enfants a été reconnue comme vivant en état de polygamie par les organismes débiteurs de prestations familiales, le droit aux prestations familiales ne peut être exercé".

Le dépôt de ce texte ne signifie pas qu'il sera débattu en séance publique à l'Assemblée nationale, ni a fortiori voté. Il doit pour ce faire être inscrit à l'ordre du jour, soit par le groupe UMP soit par le gouvernement.

Mais alors, pourquoi une nouvelle loi si la polygamie est déjà interdite en France ?

Reste à voir maintenant si une loi de soutien à l’agriculture va être aussi présenter au vote, vu que l’actualité du jour est le débarquement de 1 300 tracteurs sur Paris…

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 07:36

http://www.lavoixdunord.fr/stories/thumb460x00/mediastore/VDN/Region/A2009/M03/_090311-manif-tracteurs.jpgMais qu'avons nous fait pour mériter cela?


Alors qu'aujourd'hui les agriculteurs vont aller faire une petite piqûres de rappel (non pas de H1N1!) à Nimbus 1er, la France va donc autoriser la commercialisation d'un nouveau OGM!


Nos paysans viennent hurler leur désarois face à ce marché toujours aussi fluctuant et à une politique de surproduction qui va droit dans le mur. En effet, aujourd'hui c'est un agriculteur par jour qui passe à l'acte et se suicide. Devant faire face à toujours plus de dettes, ces agriculteurs, souvent seuls et oubliés par les pouvoirs publics (mise à part des aides remboursables qui n'arrangent jamais le problème), préfèrent se donner la mort! Tragique


Le 30 septembre dernier, 1 000 tracteurs avaient déjà convergés vers le palais de l'Elysée. Le nain de jardin avait, une fois de plus, promit une aide remboursable! Lamentable!


Pour les agriculteurs, «Sarkozy et son gouvernement ne nous ont pas entendus, alors on vient les voir. Les aides ont permis de régler les situations de ceux qui sont le plus en difficultés mais ça ne suffit pas»


Cette politique d'aides diverses et variées arrivent en fin de vie. Ce que veulent les agriculteurs c'est pouvoir vivre de leur travail, avec des prix stables. Les sirènes de la surproduction doivent maintenant cesser. L'agriculture doit revenir à ses origines sans toute fois faire un trait sur le modernisme de cette profession. Il faut maintenant faire un retour à la vente direct et réduire les intermédiaires qui réduisent à peau de chagrin les prix d'achat aux agriculteurs, mais qui engrange des marges spectaculaires lors de la revente aux consommateurs!


Mais apparemment, cette concept ne semble par faire l'hunanimité! http://www.lexpress.fr/pictures/7/3808_photo-d-un-champ-de-mais-transgenique-prise-le-04-aout-2007-a-paillet.jpg


Car la mise en culture du maïs génétiquement modifié Bt11 est "acceptable" selon le comité scientifique du Haut conseil des biotechnologies (HCB)!


"Acceptable", mais pas sur! Car ce même HCB souhaite tout de même mettre en place une surveillance post-commercialisation pour surveiller d'éventuels "effets inattendus" sur l'environnement comme sur la santé et l'éventuelle résistance des insectes ciblés.


Ses chercheurs, équipés de leur trouse du petit chimiste en herbe, notent tout de même plusieurs points d'"incertitudes" relatifs en particulier aux éventuels effets du maïs Bt11 sur les espèces non-cibles. Bref on vient encore de créer un OGM sans pour autant savoir ce que ce dernier fera comme dégâts dans la nature !!


Je donnerai le mot de la fin à Greenpeace qui a "de fortes réserves sur l'avis du HCB de manière globale". Pour Greenpeace, le Bt11 génère "des risques encore plus nombreux" que le MON810 de Monsanto. C'est dire !!!


Et pour conclure, "Il faut essayer de revoir nos pratiques agricoles et les rendre plus respectueuses de l'environnement plutôt que de partir dans des cultures OGM dont on ne maîtrise absolument pas les risques à moyen et long terme".


Bref Sarko va de nouveau entendre le désespoir d'une catégorie de la population française sans malheureusement les comprendre et les écouter !!

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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 07:49
http://dutron.files.wordpress.com/2008/07/sarko-la-fessee.jpgC'est magnifique, extraordinaire! Pensez dont, la grèce, l'un des trois pays au bord de la crise de nerfs et de la faillite, se trouve dans un trou sans fond! Et que va faire le conseil de l'Europe pour tenter de la sauver?
Elle va débattre sur le thème de la fessée ! Non pas celle qu'elle pourrait mettre à ce pays ou à l'Iran, ou je ne sais quelle dictature voir même des banquiers, nan, la fessée à nos bambins !

Mais l'Europe n'aurait donc que ça à penser pour le moment? La crise est derrière nous, tout est redevenu comme avant, chouette, on va pouvoir de nouveau débattre sur des sujets super important comme la fessée!

En tout les cas avec des débats aussi élevées et aussi important pour toutes les victimes de la crise, on peut dire que Bruxelles et Strasbourg travail du chapeau pour remettre le monde sur de bons rails !!!
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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 10:27

Par Europe1.fr (avec agences)

Le Sénat a publié des emails montrant comment la banque a bénéficié de la crise.

L’affaire tombe mal. Alors que la banque Goldman Sachs prépare son argumentaire pour une audition mardi devant les parlementaires, une commission du Sénat américain a publié samedi des emails montrant comment la banque a bénéficié de la crise des subprimes pour empocher des dizaines de millions de dollars. L’information a été révélée samedi par le Wall Street Journal.

 

Les messages n'apportent pas de preuve que la banque ait enfreint la loi, mais montrent ses dirigeants se gargarisant de profits réalisés grâce à la crise. "Les banques d'investissement comme Goldman Sachs n'étaient pas de simples courtiers, elles étaient les promoteurs intéressés de produits financiers risqués et complexes qui ont favorisé l'éclosion de la crise", écrit Carl Levin, le président de la Sous-Commission sénatoriale permanente d'enquête, dans un communiqué accompagnant la publication de ces documents.

 

Des révélations qui tombent à un bien mauvais moment pour la banque, qui cherche à défendre son image à quelques jours de son audition devant les parlementaires. L'autorité de régulation des marchés boursiers américaine (SEC) a porté plainte le 16 avril pour fraude. L'organisme accuse la banque d'avoir trompé des investisseurs en leur faisant faire des placements sur des titres risqués dont elle savait qu'ils allaient baisser, sans les informer qu’elle-même pariait sur la baisse des produits qu'elle leur faisait acheter.

La banque a déjà sa défense

Les dirigeants de Goldman Sachs vont indiquer, lors de leur audition mardi, que la banque d'affaires n'a pas cherché à tromper ses clients, ne sachant pas comment allait évoluer le marché des "subprimes", selon le Washington Post de samedi.

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 10:14

Nouveau coup dur pour l'Alsace et plus particulièrement pour le Bas Rhin. L'usine Delphi de Strasbourg va très certainement mettre la clé sous la porte faute de repreneur. Cette nouvelle fermeture d'usine devrait mettre de nouveau 327 salariés sur le carreaux !!


Selon les informations communiquées lors d'un comité d'établissement mercredi à Strasbourg, l'usine de pompes hydrauliques pour directions assistées, mise en vente par le groupe américain, n'a pas trouvé de repreneur à l'échéance fixée du 20 avril, ont indiqué Sébastien Dettwiller, délégué CGT et Philippe François, délégué CFTC (syndicat majoritaire du site).

Cette situation rend probable sa fermeture, dans la mesure où le groupe américain a de longue date fait savoir que l'absence de repreneur entraînerait la "cessation progressive d'activité" d'ici à la fin 2010, ont ajouté les deux délégués.

Le projet de fermeture pourrait être officialisé courant mai lors d'un comité central d'entreprise de Steering France, la société qui coiffe le site de Strasbourg.

La reprise a surtout achoppé sur son coût social car un accord préalable prévoit de verser des indemnités de départ jusqu'à 55.000 euros en cas de licenciement, a souligné M. Vilbert. Ce point a été considéré comme non-négociable par les syndicats, "ce que nous comprenons de leur point de vue", a confié le porte-parole de l'entreprise.

En outre, le fait que Strasbourg fabrique un "produit en fin de vie" a représenté un "handicap" dans ce dossier, a-t-il ajouté.


Cet exemple montre bien les faiblesses actuelles de l'Alsace qui n'a pas su se moderniser à temps. Se reposant sur ses lauriers de "région riche", tous les investisseurs étrangers ont délocalisés un à un sans que la région et les deux départements ne lèvent le petit doigt; Cette situation risque donc d'empirer au fil des prochaines années si rien n'est fait dans ce sens.


L'arrêt d'activité va également toucher les 14 salariés du siège de Steering France à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis). Ils ont été informés vendredi matin de l'absence de repreneur, a indiqué M. Vilbert.

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23 avril 2010 5 23 /04 /avril /2010 07:50

http://syndicatpouetpouet.files.wordpress.com/2009/04/chereque-valet1.jpgMais pourquoi donne t'ont la parole à Chérèque sur le thème des retraites? Après avoir, en 2003, totalement signé à contre courant de l'avis des militants de base, voici que Chérèque se prononce pour une rapprochement des systèmes de retraite public-privé!


Il est très fort ce mec là, voilà qu'il donne déjà son avis publiquement alors que rien ne lui était demandé! La CFDT, tout du moins au niveau de la confédération, semble totalement déconnecté des réalités de terrain. De plus, ce pseudo syndicat (qui est le mien!) donne toutes cautions au gouvernement qui n'en demandait pas tant! On en serait à regretter Nicole Nota, c'est dire !


BOBIGNY, 22 avr 2010 (AFP)

        Le secrétaire général de la CFDT François Chérèque s'est prononcé jeudi pour une convergence "à terme" des systèmes de retraite public-privé, lors d'un déplacement à la préfecture de Bobigny (Seine-Saint-Denis), devant des militants de la section locale,    

        "Le vrai courage politique, c'est de faire une réforme globale et à terme, dans 20 ou 30 ans, s'engager dans une convergence du système public-privé parce qu'il y a des gens qui passent d'un secteur à l'autre", a-t-il déclaré.    

        M. Chérèque a insisté sur "la complexité du problème" des retraites, déplorant que le gouvernement veuille "régler tout ça d'ici la fin juin". "C'est impossible. Le gouvernement fait le choix d'une petite réforme mais qui peut cogner dur (...) avec des effets désastreux", a-t-il poursuivi.

        "Faire une réforme des retraites qui se contente d'allonger la durée des cotisations, c'est faire une réforme qui va accentuer toutes les inégalités", a-t-il estimé.

        Le leader de la CFDT a redit qu'il fallait une réforme de la fiscalité pour que "tout le monde finance la solidarité nationale au même niveau". "Les revenus du travail sont 2 à 3 fois plus taxés que les revenus du capital; c'est une inégalité qui n'est plus possible", a-t-il déclaré.

        Il a également insisté sur le fait que "la position finale (sur les retraites) de la CFDT sera prise lors de notre congrès" en juin. "Je ne serai que le porte-parole des militants", a-t-il ajouté.

        Le ministre du Travail, Eric Woerth et le secrétaire d'Etat à la Fonction publique Georges Tron ont commencé jeudi une série de discussions sur les retraites des fonctionnaires.

        Dans la fonction publique, le niveau maximal de retraite est de 75%, calculé sur la base des six derniers mois de salaires, hors primes qui peuvent représenter jusqu'à 20% de la rémunération.

        Dans le secteur privé, le montant de la retraite de base est de 50%, calculée sur les 25 meilleures années de salaires.

        Par ailleurs, François Chérèque s'est rendu à la direction des étrangers de la préfecture de Bobigny, devant laquelle plusieurs centaines de personnes faisaient la queue depuis le matin très tôt. "Il y a un problème d'organisation et un manque de moyen, c'est évident", a-t-il déclaré.

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